a relevé l'effet pervers de la terminologie employée : ainsi l'expression « banque d'images » conduit à considérer les photos comme de simples marchandises. S'il a considéré qu'on ne pouvait accuser les nouvelles technologies de remettre en cause le droit d'auteur, il s'est interrogé sur les solutions qui pourraient être trouvées au niveau européen.
Il a ensuite souligné la confusion faite entre droit à l'information et communication. Enfin, évoquant les pratiques amateurs, il s'est demandé comment empêcher leurs dérives sans nier leur importance.