a indiqué que le plan de charges de l'établissement public se construisait au fur et à mesure des opportunités, et qu'après la réalisation de projets « enlisés », la diversification des maîtres d'oeuvre permettait de prévoir un plan d'activités correspondant au fonctionnement normal de l'EMOC.
Il a rappelé que lorsque M. Jean-Jacques Aillagon était ministre de la culture, la question de la privatisation de l'EMOC s'était posée mais que la complexité des chantiers concernés avait plaidé pour le maintien d'un opérateur de l'Etat.