a rappelé que les changements apportés aux projets et le temps passé à les améliorer pouvaient être bénéfiques, comme ce fut le cas, notamment, pour la cinémathèque. L'arrêt du chantier, pendant un an, a ainsi permis de résoudre, notamment, les problèmes administratifs et structurels qui se posaient et qui obéraient l'avenir même de la cinémathèque française.