a d'abord considéré que l'accès à la formation des demandeurs d'emploi était encore trop peu aisé. Il a mis en avant l'exemple danois, dans lequel toutes les personnes au chômage depuis un an sont obligées de suivre une formation qualifiante, au terme de laquelle la plupart retrouvent un emploi. A cet égard, il s'est étonné du faible taux de placement à la sortie des formations délivrées par l'Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA).
Il a ensuite préconisé la mise en place dans le système éducatif, d'un service public local d'orientation, et a proposé que les jeunes ayant quitté rapidement le système scolaire puissent conserver le bénéfice des bourses qu'ils n'ont pas utilisées pour monter des projets.