Je rappelle que lorsque, dans une démarche pluraliste et démocratique, le Sénat a entrepris d'évaluer la représentation de chaque groupe dans les instances auxquelles l'institution est partie, on m'a proposé de siéger au conseil d'administration de France 2. Je n'ai jamais pu y siéger puisqu'un mois plus tard, la société était dissoute... C'est pourquoi il me paraît légitime de me porter aujourd'hui candidat, afin que l'un des deux sièges revienne à l'opposition.