a rappelé que plusieurs organismes disposaient déjà d'une expertise en ce domaine, notamment l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) et l'Institut national de veille sanitaire (InVS). Leurs experts doivent cependant être mis à l'abri des pressions des industriels, pour éviter, comme cela a pu être le cas à l'INRS, que des chercheurs soient sanctionnés en raison de leurs travaux. Dans cette perspective, il a jugé préférable que les partenaires sociaux ne siègent pas au conseil d'administration de la future Agence de la santé au travail.