La commission des affaires culturelles n’a bien entendu pas étudié ce sous-amendement, pas plus qu’elle n’avait examiné les sous-amendements de nos collègues communistes, mais je crois pouvoir dire que, si elle l’avait fait, elle n’y aurait pas été favorable.
En effet, nous nous sommes efforcés d’aboutir à un équilibre entre gestion, entreprise unique et création. De ce point de vue, la collégialité, à défaut d’en être l’alpha et l’oméga, de constituer la solution unique, nous semble être la bonne méthode. C’est un peu la situation que l’on connaît dans les maisons d’édition avec les comités éditoriaux : le débat est collégial et la décision se prend au niveau de l’entreprise unique.