a souligné, tout d'abord, qu'il serait stupide de désigner Google à la vindicte publique, rappelant que chacun utilisait quotidiennement les moteurs de recherche proposés par cette société. Il s'est inquiété néanmoins des conditions de mise en ligne, par Google, des fichiers provenant de la numérisation des documents de la BML, insistant sur le fait que cette diffusion mondiale se ferait sans accompagnement et sans outils critiques. Il s'est interrogé, en outre, sur l'incidence de la décision prise par la BML de numérisation au moyen d'un opérateur privé, sachant qu'un certain nombre de bibliothèques de la région Rhône-Alpes fonctionnaient en réseau.