a souhaité savoir si, durant la période de vingt cinq ans pendant laquelle la BML ne pouvait commercialiser les fichiers numérisés par Google, elle pouvait néanmoins en avoir l'utilisation pour notamment les confier à Gallica et Europeana et si, pour cette même période, une clause de l'accord passé avec Google imposait à cette société une indexation et une hiérarchisation culturelles et intellectuelles des oeuvres mises en ligne. Il s'est enfin interrogé sur le fait que, si Google pouvait amortir son investissement sur vingt cinq ans, la BML ne pouvait elle le faire.