a indiqué qu'elle ne croyait pas que la France était arrogante, mais qu'elle voulait simplement être à la hauteur de son histoire. S'agissant du discours de Dakar, elle a regretté que la mise en exergue d'un extrait surmédiatisé ait occulté la force et le caractère inédit du message présidentiel. Le Président de la République a souligné l'universalité de l'homme africain, la condamnation de l'esclavage comme crime contre l'humanité, l'affirmation du rôle particulier de la jeunesse africaine dans le renouvellement des valeurs universelles.
S'agissant de la libération de Mme Ingrid Bétancourt, elle a relevé l'engagement fort de la diplomatie française, qui notamment par le biais d'un rapprochement avec les autorités vénézuéliennes, multiplie les efforts pour obtenir une preuve qu'Ingrid Bétancourt est toujours en vie.