a tout d'abord rappelé qu'il avait quitté la présidence de l'Imprimerie nationale à la fin du mois d'avril 2003, et qu'il n'avait donc signé qu'un projet de la promesse de vente, elle-même signée formellement au mois de juin 2003. Il a indiqué que cette promesse se trouvait assortie de clauses suspensives qui, le cas échéant, auraient permis à Carlyle d'être délié de son offre.