a souligné que les investisseurs qu'il représentait avaient pris, lors de l'achat de l'immeuble de l'Imprimerie nationale, un risque certain, compte tenu de la nature et de l'état des bâtiments. Il a fait observer que son groupe ne pouvait anticiper l'ampleur de la hausse du marché immobilier de bureaux à Paris, intervenue postérieurement à cette acquisition.