Sur cette question de la sanction, nous pourrions, pour ce qui concerne nos amendements, procéder à quelques rectifications. Laissez-nous juste un peu de temps. Nous sommes face à un passif : si l'on veut remonter la pente en matière de féminisation, peut-être faut-il contraindre à ce que s'ouvrent quelques opportunités. Limiter à trois le nombre de mandats libérera des places et nous irons ainsi plus vite vers une représentation équilibrée : la première partie de l'amendement, madame Des Esgaulx, nous semble donc pleinement dans le sujet.