évoquant l'océan Pacifique comme lieu d'un conflit possible, s'est enquis de l'opinion de l'amiral Forissier sur l'opportunité que notre pays puisse, à l'occasion d'une future loi de programmation militaire, se doter d'un second porte-avions qui faciliterait une éventuelle projection des forces françaises à plus de 8 000 kilomètres.