Je souscris à ce que mes collègues ont exprimé sur le « printemps arabe » et sur le conflit israélo-palestiniens. Je voudrais évoquer la situation particulière de Gilad Shalit, emprisonné depuis cinq ans. Ce garçon est privé de sa liberté et de ses droits les plus fondamentaux depuis des années sans que les gens qui le détiennent ne soient véritablement inquiétés. Je souhaite que toutes les personnes, et notamment les personnes qui ont des enfants, puissent mesurer la tragédie qu'endurent les parents de Gilad Shalit. Ces derniers ont quitté leur domicile et vivent actuellement sur le trottoir devant les bureaux du Premier ministre. Je souhaite, pour eux et pour leurs enfants, qu'il soit libéré le plus rapidement possible.