Les opinions sont diverses en Israël et au sein des partis politiques, comme dans les pays européens. Les principaux blocs d'habitations qui occupent 8 à 10 % du territoire cisjordanien, et regroupent 250 000 de nos compatriotes, ne seront abandonnés par aucun gouvernement de notre pays. En revanche, certaines agglomérations et des implantations isolées pourraient être échangées dans le cadre d'une négociation territoriale avec les Palestiniens. Il y aura nécessairement des compromis dans ce domaine, les points de vue existant au sein de la commission que je préside sont divers.