Je suis embarrassé d'entendre chacun exposer son opinion sur ces propositions de loi, alors que nous sommes réunis pour auditionner M. Romero. Je lui poserai trois questions : la loi doit-elle accorder une assistance pour mettre fin à ses jours, et comment ? L'objectif est-il surtout d'éviter la cour d'assises à ceux qui, par compassion, ont respecté la volonté de personnes qui les suppliaient de les aider à mourir ? Enfin, vous avez évoqué l'assassinat de nombreuses personnes dans notre pays : est-ce une impression, ou bien avez-vous des chiffres à nous communiquer ?