Rappelant que la non-consommation par la France des fonds européens lui étant impartis était un problème récurrent, M. Paul Blanc l'a attribué à une possible méconnaissance par l'administration des dispositifs communautaires, ou bien à l'existence d'autres sources de financement plus faciles à mobiliser. Jugeant regrettable que l'administration centrale recommande la suppression ou le regroupement des petites structures locales de placement, il a nuancé le principe de continuité dans les financements en plaidant pour des conventions à durée limitée et renouvelable permettant de s'assurer régulièrement de l'efficacité des structures aidées.