considérant que l'action du médiateur s'étendait au-delà des réclamations intéressant les administrations, a souligné que ses propositions de réforme montraient la nécessité de conduire une évaluation approfondie avant d'entreprendre des modifications de la législation. Il a estimé que la modification du droit du surendettement à trois reprises au cours des dix dernières années avait ainsi été conduite sans prendre en compte la charge de travail excessive des juges d'instance.