à titre liminaire, a précisé que les remarques formulées par la Cour des comptes, en 2001, avaient été prises en compte, ce qui s'était traduit par la prochaine mise en place d'un règlement financier et d'un règlement intérieur, et que la probité de la gestion ne faisait, aujourd'hui, plus débat. En particulier, il a rappelé que les frais de fonctionnement s'établissaient à 22 % du budget, ce qui était très inférieur à la moyenne, soulignant, de plus, les efforts entrepris afin de développer le mécénat. Il a tenu à indiquer qu'une politique culturelle adaptée nécessitait de développer les moyens relatifs à l'accueil des cultures étrangères, et qu'à ce titre, des partenariats avec les collectivités territoriales étaient conclus. Il a estimé que la fusion entre les deux établissements ferait apparaître, dès 2007, les économies réalisées, exprimant le souhait que la nouvelle structure puisse fournir des programmes dans le domaine du livre et du cinéma. Par ailleurs, il a insisté sur la relative modicité de la subvention, surtout compte tenu du nombre de personnes touchées par les actions de l'AFAA, que l'on pouvait estimer à environ 20 millions par an.