a indiqué que le poids de l'exécutif sur le Parlement ne suffisait pas à expliquer le désintérêt des médias pour ses travaux, ce dernier résultant notamment de l'existence d'une nouvelle génération de journalistes qui n'avaient pas connu la IVème République où une plus grande attention était portée aux travaux des assemblées. Il a ajouté que la complexité des débats constituait également une explication, les rapports des commissions étant souvent bien plus éclairants que les travaux parlementaires en séance publique.