a rappelé que la méthode consistant à créer un groupe de travail avait déjà été utilisée à l'occasion de l'examen du projet de loi sur l'eau et les milieux aquatiques, et qu'il était tout à fait justifié d'y recourir plus régulièrement à l'avenir. Il a ajouté que la présence de membres de groupes politiques différents aux auditions présentait l'avantage d'entendre un discours unique de la part de leurs interlocuteurs, et non pas « adapté » à leurs sensibilités lorsque les entretiens étaient menés dans d'autres conditions.