après avoir également déploré cette détérioration des relations entre les banques et les chefs d'entreprise, qui sont pourtant indispensables pour réaliser des « investissements de rupture » permettant un saut quantitatif et qualitatif substantiel pour la croissance de l'entreprise, a indiqué que certains employeurs vivaient difficilement ce qu'ils percevaient comme une certaine arrogance de la part de leurs banquiers. Il a conclu en incitant les chefs d'entreprise à recourir à l'expertise de la Banque de France, dont les notations peuvent constituer un outil précieux pour négocier des prêts avec les banques privées.