En réponse, M. Bruno Retailleau a indiqué que :
- le secteur de la production d'électricité en Europe est l'un des secteurs les plus émetteurs de CO2 ;
- la France fait figure d'exception grâce à ses installations nucléaires et hydrauliques et les électriciens français ne sont concernés qu'à raison des émissions provenant de leurs moyens thermiques ;
- la réduction des quotas alloués aux secteurs industriels soumis à la concurrence internationale se traduirait nécessairement par une perte de compétitivité ;
- les électriciens devront acquérir la totalité de leurs quotas aux enchères à compter de 2013.