Considérant que les questions relatives aux télécommunications ne devaient pas être réservées aux seuls spécialistes et que l'absence de formation technique du candidat ne constituait donc pas un handicap, M. Bruno Retailleau s'est interrogé sur la manière de préserver un équilibre entre la force d'impulsion de l'Etat et les mécanismes de marché. Il a également souligné l'importance d'articuler les contraintes locales aux défis internationaux, ainsi que la faiblesse des ressources consacrées aux activités de recherche par les opérateurs français et le retard pris par la France sur les questions de stratégie et de sécurité. Il a enfin demandé quelles actions pourraient être mises en oeuvre dans une perspective d'aménagement du territoire.