Alors qu'il n'y a plus de crédits budgétaires pour l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), actuellement financée par « le 1 % logement », et que l'on s'interroge sur son financement à venir, il est étonnant de constater que cette agence ait pu bénéficier de 500 millions d'euros pour réaliser une opération qui ne s'inscrit pas dans son coeur de métier. S'agissant plus précisément de l'action relative au développement de la culture scientifique, est-il envisageable de procéder d'ici six mois à un redéploiement des crédits si les projets ne sont pas en nombre suffisant ou sont insatisfaisants ?