Laurence Franceschini, directrice générale des médias et des industries culturelles au ministère de la culture et de la communication :
Je me rallie pleinement à votre observation. J'ajoute que, s'il est nécessaire de laisser une marge de manoeuvre suffisante aux dirigeants de l'audiovisuel, l'Etat doit également faire valoir son point de vue.