Puis, après que M. Dominique de Villepin eut rappelé que cette annonce constituait la seule information officielle sur les retards en 2005, elle a estimé que l'Etat, en tant que prêteur de l'avance remboursable, avait un devoir de meilleur suivi en interne de la situation industrielle d'Airbus.
a précisé qu'aucun membre de son cabinet ne s'était rendu sur les sites de production d'Airbus, et que les reports de livraison constituaient un aléa fréquent et inhérent à la nature de l'industrie aéronautique, sans que cela ait toujours un impact sur le cours de l'action. Il a estimé que l'Etat avait fait tout ce qu'il devait faire et qu'au-delà des informations vagues et des arguments généraux, aucune critique ne lui avait semblée fondée à ce jour.