a rappelé qu'aux termes du pacte, l'Etat devait être consulté avant toute cession du co-actionnaire Lagardère, et que l'APE avait la responsabilité d'examiner la conformité au pacte d'une telle cession, mais que cette procédure ne constituait pas une autorisation pour le cédant. Il a estimé qu'une immixtion de l'Etat dans l'opération de marché de Lagardère l'aurait placé dans une situation « impossible », susceptible de constituer un délit d'initié de l'Etat. Dans ces conditions, on ne pouvait à la fois souhaiter que l'Etat soit omniprésent et s'étonner qu'il agisse selon les règles prévues. A cet égard, il a insisté sur le fait que la gouvernance publique avait bien fonctionné conformément aux règles posées et à la définition des responsabilités, et que toute contestation sur ces règles devrait conduire à formuler des propositions pour les modifier.