a répondu que la focalisation sur des questions telles que la plus-value réalisée par Lagardère ou l'idée que l'Etat aurait pu faire une plus-value risquaient de faire oublier les principes fondamentaux de l'action publique. Il a ajouté que, si l'on s'en tenait aux principes, la clarification de la gestion d'EADS en 2006 et 2007 allait dans le bon sens. Il a par ailleurs jugé que le problème de communication financière d'EADS relevait du management de l'entreprise et ne concernait pas l'Etat. En ce qui concernait la Caisse des dépôts et consignations, il a jugé que la remise en cause du système de cloisonnement avec l'exécutif risquerait d'être plus dommageable que la situation actuelle, en créant le risque que l'Etat se retrouve dans une situation d'initié. Enfin, il a affirmé qu'au regard des principes fondamentaux de l'action publique, la façon dont l'Etat avait fonctionné avait été la bonne.