a entendu privilégier la problématique des utilisateurs de la bourse, qui avaient choisi en 2001 et 2002 de ne pas demeurer actionnaires d'Euronext, dont la cotation en bourse avait signifié la fin de sa structure semi-mutualiste. Il a relevé que ces mêmes utilisateurs avaient tardivement pris conscience de l'utilité d'une prise de participation dans le capital d'Euronext. Il a également souligné que les tarifs avaient diminué de 21 % pour certaines catégories d'opérations, et qu'il s'était à ce titre entendu reprocher par certains actionnaires de ne pas respecter leurs intérêts financiers. Cette vision « maximaliste » de l'intérêt des actionnaires contrariait ainsi une autre conception du partage des gains de productivité, qui pouvait être réalisé dans l'intérêt bien compris des clients.