a souligné le courage et la constance de M. Jean-François Théodore, en dépit d'un certain manque d'intérêt des acteurs politiques au début de la présente décennie, qui manifestait les lacunes de la culture boursière en France. Il a appelé de ses voeux une plus grande mobilisation des parlementaires et des opérateurs financiers et une meilleure prise de conscience des enjeux auxquels était aujourd'hui confronté Euronext. Il a également rappelé que l'industrie financière représentait des centaines de milliers d'emplois en Ile-de-France, et qu'il importait donc de la préserver, au même titre que l'industrie automobile, qui suscitait davantage d'inquiétudes de la part des élus et de l'opinion.