rappelant qu'un document établi par la société Arkema, remis à la mission au cours d'une précédente audition, pouvait être assimilé à un « manuel » sur la manière, pour les entreprises, de limiter la reconnaissance des maladies professionnelles, s'est interrogé sur l'existence d'une stratégie de la plupart des grands groupes pour sous-déclarer les maladies professionnelles et échapper ainsi à leurs responsabilités en matière de prévention.