a indiqué que l'auditorat constituait la période la plus appropriée pour identifier les faiblesses d'un futur magistrat et écarter les personnes inaptes à l'exercice des fonctions juridictionnelles. Il a fait valoir que l'exclusion d'un auditeur en cours de scolarité serait toujours moindre que l'intégration définitive d'un professionnel inapte à exercer le métier de magistrat.