a contesté les chiffres du rapport de la Cour des comptes relatif aux maladies professionnelles. Il a fait observer que, si les plaques pleurales étaient une maladie bénigne, elles n'en étaient pas moins à l'origine d'un réel traumatisme et d'une grande inquiétude pour les victimes. Il a considéré que le FIVA remplissait très bien sa mission, grâce à une indemnisation rapide, parfois dans un délai d'un mois, qui intervient avant la reconnaissance de la maladie professionnelle. Il a rappelé que les conclusions des études menées sur les fibres céramiques réfractaires étaient pour l'instant très nuancées.