En réponse à Mme Elisabeth Lamure, qui s'interrogeait sur les raisons pour lesquelles les Français paraissaient si peu fiers de la réussite de leurs grandes entreprises, M. Jean-François Dehecq a déploré qu'en France, peu de choses soient faites par les élites pour que les gens aiment l'entreprise. Il a ainsi souligné la responsabilité de certains dirigeants qui optimisent en permanence en ne conservant que les parties les plus rentables, voire théorisent la notion d'entreprise sans usine, ou massivement « out sourcées », mais il a aussi regretté le manque de respect de nombreux responsables politiques à l'égard du monde industriel.