s'est félicité des conditions d'entrée de la Caisse des dépôts et consignations dans le capital d'Eiffage. Il a toutefois observé que la Caisse était susceptible d'intervenir en qualité de financeur aux côtés de consortiums comprenant la société Eiffage. Il a donc souhaité obtenir des éclaircissements sur l'inviolabilité de la « Muraille de Chine » séparant, au sein de la Caisse, son rôle d'actionnaire d'Eiffage de celui de bailleur de fonds dans le cadre d'opérations d'intérêt général. Il s'est enfin interrogé sur la compatibilité de certains taux attractifs pratiqués par la Caisse des dépôts et consignations, dans le cadre de PPP, avec les règles du marché européen.