a ensuite évoqué la question des PPP, pour souligner que la Caisse avait vocation à introduire une dose supplémentaire de concurrence sans pour autant « casser le marché ». Il a précisé que les collectivités territoriales souhaitaient l'intervention de la Caisse des dépôts et consignations en la matière. S'agissant du parc de logements d'Icade, il a démenti toute hypothèse de cession globale et indiqué que les cessions réalisées par Icade concerneraient au premier chef les organismes d'habitations à loyer modéré. Par ailleurs, la SNI gère 11.000 logements domaniaux, 27.000 logements réservés pour les militaires, et 5.500 logements pour les gendarmes. Certains logements vacants commencent à être vendus sur le marché local.
a confirmé qu'une séparation claire existait entre les attributions de la Caisse des dépôts et consignations en tant qu'actionnaire d'Eiffage et sa vocation de financeur d'opérations d'intérêt général. Il a indiqué que le prix d'Eiffage résultait de l'interaction normale qui s'opère entre vendeur et acheteurs et que la Caisse des dépôts et consignations pouvait payer un prix légèrement supérieur à celui de la Bourse, dans la mesure où elle achetait un bloc de l'ordre de 10 % qui permettait de détenir près de 20 % de la société. Le supplément payé constituait donc en quelque sorte une « prime de bloc ». Il a enfin précisé que la Caisse des dépôts et consignations investissait dans les biotechnologies, citant des investissements récents dans un fonds d'amorçage en sciences de la vie (Biodiscovery) ainsi que dans le fonds « Génopole 1er Jour » créé dans le cadre du Génopole d'Evry.