a considéré que l'observance est, avant tout, le résultat d'une relation de confiance entre le médecin et son patient. Or, le temps médical est aujourd'hui insuffisant pour proposer à chaque patient une éducation thérapeutique. Certaines tâches pourraient donc utilement être déléguées, proposition qui se heurte toutefois à la pénurie d'infirmières.
Il s'est également inquiété du désintérêt des étudiants pour la médecine générale. L'organisation actuelle du cursus médical les conduit en effet à ne connaître que la médecine hospitalière et la carrière universitaire. La médecine générale devrait être remise au centre des études médicales.