a estimé que les structures et les acteurs ne doivent pas être cloisonnés mais, au contraire, être invités à participer, chacun à leur niveau, à l'accompagnement des patients.
Dans le cas du diabète par exemple, les stades successifs de la maladie nécessitent des modalités de prise en charge et d'accompagnement adaptées qui peuvent être confiées à différents opérateurs.
La participation de tous est d'autant plus nécessaire que les besoins de financement pour ces programmes sont élevés et appellent la mise à contribution de l'Etat, mais aussi de la sécurité sociale et des laboratoires.