a fait valoir que toutes les associations ne sont pas prêtes ni capables de s'engager dans des programmes d'accompagnement. Le lancement de ces programmes doit donc obéir à un appel d'offre pour choisir le candidat le mieux à même de les mettre en oeuvre. Ils devront également être encadrés par des règles précises, notamment l'absence de lien direct entre les laboratoires et les patients, le respect du choix de ces derniers et une évaluation régulière.
Demeure toutefois posée la question de leur financement puisque l'industrie refuse la mutualisation des moyens, préférant financer ses propres programmes.