a déclaré que ce sommet avait montré la place importante qu'occupe notre pays en Méditerranée et que l'avenir trancherait sur sa destinée. En dépit des retrouvailles syro-libanaises, qu'il faut porter au crédit du sommet de Paris, il a regretté que certains dossiers lourds n'aient pas été évoqués, comme l'impasse au Sahara occidental. En outre, la déclaration ne mentionne pas le droit des Palestiniens à avoir un Etat. Il a souhaité que l'on tire davantage les leçons de l'échec du processus de Barcelone et regretté que le lien établi à Barcelone entre développement économique et démocratie politique ait été abandonné. Il a encore regretté que n'aient pas été évoquées, à Paris, les atteintes aux libertés et aux Droits de l'Homme.