a rappelé que les priorités de la présidence française portaient sur la sécurité, l'immigration, la lutte contre le réchauffement climatique, la défense européenne et que, sur tous ces points, la France espérait obtenir des avancées. Au cours de cette période, se posera également la question sensible du bilan de la politique agricole commune. Evoquant la présence commune de la France et du Royaume-Uni en Afghanistan, il a indiqué qu'elle suscitait beaucoup d'inquiétudes en l'absence de visibilité sur l'évolution de la situation. Il a estimé que la présidence française aurait également à connaître de l'avenir institutionnel de l'Union européenne, après le « non » irlandais au référendum sur le traité de Lisbonne.