a rappelé que la présence britannique à Chypre était régie par un traité dont le Royaume-Uni, la Grèce et la Turquie étaient les garants. En vertu de ce traité, le Royaume-Uni dispose de deux bases aériennes sur lesquelles il exerce sa souveraineté. Il a indiqué qu'une rencontre récente entre le Président chypriote et le Premier ministre britannique avait été l'occasion de réaffirmer que ces deux bases ne constituaient pas un problème entre les deux gouvernements, qui s'étaient par ailleurs engagés à travailler à une solution de la question chypriote avec le Gouvernement turc, dans le respect de leurs engagements et des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.