Le jeune sénateur que je suis ne veut pas verser dans la polémique et l'ancien député regrette certaines remarques. Chacun a ses convictions politiques, philosophiques et religieuses ; chacun est soumis à des pressions. La gauche, comme nous, est soumise à des pressions. Sur certains textes, comme celui-ci ou la proposition de loi sur la fin de vie, le vote, par nature personnel, peut s'écarter de la logique de groupe.