a souligné qu'au-delà des Européens et des Etats-Unis, des pays comme la Russie, la Chine et l'Inde venaient de montrer, par leur vote au sein du conseil des gouverneurs de l'AIEA, qu'ils n'étaient pas, eux non plus, convaincus par les arguments avancés par l'Iran à l'appui de son programme nucléaire. Rappelant que les voisins de l'Iran, notamment l'Arabie Saoudite et l'Egypte, étaient eux aussi très préoccupés par cette question, il a évoqué le risque de voir certains d'entre eux tentés de développer des capacités nucléaires militaires si le programme nucléaire iranien devait se poursuivre dans les conditions actuelles, qui ne permettent pas de garantir sa finalité exclusivement civile.