a rappelé les conditions dans lesquelles était intervenu l'accord de Téhéran du 21 octobre 2003 entre l'Iran et les trois ministres des affaires étrangères français, britannique et allemand. Elle a estimé qu'au lendemain même de sa signature, des doutes étaient apparus sur la possibilité de réellement rétablir la confiance et de lever toutes les inquiétudes de la communauté internationale. Elle a évoqué les événements survenus depuis lors et souhaité connaître la position de l'Iran sur les moyens de résoudre la crise en cours et de garantir la stabilité dans l'ensemble de la région.