a estimé que le rôle régional majeur de l'Iran et son rayonnement culturel rendaient d'autant moins acceptables les déclarations du président Ahmadinejad à propose de l'Etat d'Israël. S'agissant du programme nucléaire, il a rappelé que l'accès à l'énergie nucléaire civile n'était en rien contesté, mais qu'une transparence totale s'imposait comme un impératif absolu. Enfin, il a considéré que l'Iran ne pouvait se dire victime d'un traitement discriminatoire, dans la mesure où un très grand nombre d'Etats partageaient les mêmes inquiétudes quant au risque de prolifération nucléaire.