a souligné que le statut régional de l'Iran lui imposait des responsabilités particulières. Elle a considéré que l'attitude réservée et responsable de la France à propos de la guerre d'Irak ne donnait que plus de force aux exigences qu'elle formule au sujet du programme nucléaire iranien. Elle a insisté sur les dangers que fait peser sur la sécurité mondiale la prolifération nucléaire et sur la nécessité, pour tous les Etats, de s'engager sur la voie d'une élimination progressive des armes nucléaires. Enfin, elle a estimé que la question de la Palestine ne pouvait être réglée si l'existence d'Israël n'est pas pleinement reconnue.