a relevé que l'accélération du programme de rénovation urbaine avait nécessité la mise en place d'un système de gestion financière particulier et d'un mécanisme de suivi des dépenses original, et qu'il avait donc fallu former les acteurs de terrain, ce qui avait pu provoquer des retards. Il a souligné qu'il fallait instituer des mécanismes d'avances permettant d'éviter aux bailleurs sociaux et aux collectivités territoriales d'avoir des problèmes de trésorerie. Il a indiqué qu'en tout état de cause, il n'y avait pas eu de problème de disponibilité des crédits de paiement.